Rencontre choc

Paroles et musique de Bernard Lavernhe

Arrangements de P. Cinélu et interprétation de F. Bonnamy

Elle est cash la bimbo. Et bouleversante. Elle va avoir cette phrase sublime : « Je m’sens belle comme un gratin qui vient de sortir du four, et j’espère mon amour, que t’as un coup de fourchette assassin ! » Lui, un beau ténébreux, est du genre zombi neurasthénique en manque d’appétit! Aïe ! Ouille ! Ça va clasher ! Un clip vidéo façon bande dessinée à la Gotlib.

Humour...!
Illustration sonore : Rencontre choc (B. Lavernhe)

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RENCONTRE CHOC

Je me sentais tout comateux,
J’avais le cœur en dérive,
Et l’humeur végétative :
J’me traînais comme un loqueteux.
Elle avait l’œil langoureux,
Une avant-scène explosive,
Un pétard faramineux,
Qui vous laisse à cran sur les gencives.
J’aurai jamais dû la voir,
Si je n’m’étais cogné
Contre ses deux petits air-bags
Qui m’ont sauté au nez.

Ah ! oh ! ah ! ah ! oh !  
Je ne savais plus où j’habitais !

J’ai eu comme une bouffée de fièvre,
Un coup de chaud dans la cafetière.
J’avais le corps en émoi,
Et les guiboles en pâté de foie.
Elle m’a dit « Bonjour chéri,
D’où viens-tu, quelle galaxie ? »
J’avais l’air d’un ahuri :
J’étais à deux doigts de l’apoplexie.
C’est comme ça qu’on s’est retrouvé
Dans sa gentille petite piaule.
Et pour bien me remonter,
Elle a sorti le flacon d’gniole.

Ah ! oh ! ah ! ah ! oh !
Cré vingt dieux que sa gniole arrachait !

Elle a fait glisser ses fringues,
Tout en bas, jusqu’au chevilles,
J’devais faire une drôle de bille
Quand elle m’a dit d’un air foldingue :
« Je m’sens belle comme un gratin
Qui vient de sortir du four,
Et j’espère mon amour,
Que t’as un coup de fourchette assassin ! »
J’lui ai dit « J’suis pas une brute,
Au prosac je me dope,
Et si tu cherches un mâle en rut,
Moi j’suis du genre ‘gastéropode’ ! » 

Ah ! oh ! ah ! ah ! oh !
J’ai cru qu’elle allait s’en étouffer !

Elle a eu une bouffée de fièvre
Un coup de chaud dans la cafetière.
Elle gueulait comme un putois
Je vous jure qu’j'avais les foies !
J’ai pas essayé longtemps
D’y aller de mes p’tites rimes
De mon cœur à la dérive
On peut dire qu’elle s’en foutait franchement !
Ses insultes m’ont subjugué,
Ses coups m’ont sidéré,
Mais depuis à cette tigresse,
Moi, je donne toute ma tendresse.

Aïe! Ouille ! Aïe-Aïe ! Ouille !
Quel punch, moi cette môme, j'l’ai dans la peau !


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