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Ce matin en f’sant ma toilette,
J’ai glissé sur ma savonnette,
Puis ensuite dans ma cuisine,
J’ai reglissé sur ma tartine,
Alors, je m’suis mis au repos,
Devant mon poste de radio,
C’était, je crois France-ragots,
J’ai reglissé sur un étron,
Sorti de ce poste à la con,
Que j’ai jeté à la poubelle,
Avec les CD de Nolwenn.

J’n’entends plus l’ loup le renard et la belette,
J’n’entends plus l’ loup et le renard chanter !

Puis Je suis sorti dans la rue,
Mais J’ai glissé sur un obus,
Perdu par un vrai abruti,
Un artilleur sans permis,
Ou un chasseur sachant chasser,
Ou un militaire énervé,
Bref j’ai à nouveau glissé,
Suivant cette glissante attitude,
Je glissais droit vers les Bermudes,
Allo, papa, tango, Charlie,
Secourez-moi, je vous en prie !
Ici papa tango, Tapie,
Charlie n’est pas là aujourd’hui,
Vous secourir, on peut le faire,
Mais y’a dépassement d’honoraires,
Deux-cent millions de déplacement,
Plus cent millions de dépassement,
Ici papa tango, Tapie,
Répondez ou sinon tant pis !

J’entends le loup le nanard et la belette,
J’entends le loup et le nanard s’marrer !

J’en ai déduit que de glisser,
On va de plus en plus bas et,
J’ai glissé vers ma solitude,
Vers le triangle des Bermudes.
Pour essayer de la noyer,
Mais la garce elle savait nager,
Et devinez qui m’a r’péché,
Nolwenn sur son yacht en papier,
Elle m’a dit monte, je t’attendais,
Tu as l’air d’une belette mouillée,
Ta solitude viens la sécher,
La fin, je la laisse deviner,
Une belle croisière en vérité,
J’suis désolé pour les CD…

J’entends le loup le veinard et la vedette,
J’entends l’veinard et la vedette chanter !